Download Free Strategie Dentreprise Et Politique Industrielle Dans La Nouvelle Economie Mondiale Book in PDF and EPUB Free Download. You can read online Strategie Dentreprise Et Politique Industrielle Dans La Nouvelle Economie Mondiale and write the review.

Une approche plurielle. Une instrumentation pratique. Des tableaux et des figures, des documents illustrant les enjeux, des clés et repères qui permettent une maîtrise immédiate des notions. Une problématique soutenue. Les fusions qui ont touché l'industrie et la finance mondiales en 1999 sont exceptionnelles par leur nombre, l'importance des firmes, la concentration des parts de marché. Un système industriel mondial émerge dont il faut définir la logique d'ensemble, les principaux aspects juridiques, monétaires, stratégiques, sociaux et techniques. Cette logique d'ensemble est dominée par l'idée de concurrence, qui reste ambiguë car l'accord idéal entre la norme et la réalité, dans une concurrence épanouie n'est jamais réalisée. Le tournant historique de la mondialisation et de l'euro est l'occasion de relever le défi de la réconciliation entre concurrence réelle et concurrence normale par l'harmonisation mondiale des instruments de l'innovation (du droit de la propriété industrielle aux OPA). Un outil didactique et préparatoire. Un cours structuré regroupant l'essentiel des savoirs. Une liste sélective des sujets proposés ou susceptibles de l'être. Annales choisies, propositions de thèmes nouveaux. Des plans détaillés. Problématiques, organisation des acquis Les références bibliographiques essentielles.
Qu'est-ce que la politique industrielle La politique industrielle (PI) ou stratégie industrielle d'un pays est son effort stratégique officiel visant à encourager le développement et la croissance de tout ou partie de l'économie, souvent axés sur tout ou partie du secteur manufacturier. Le gouvernement prend des mesures « visant à améliorer la compétitivité et les capacités des entreprises nationales et à promouvoir la transformation structurelle ». L'infrastructure d'un pays est un catalyseur majeur de l'économie au sens large et joue souvent un rôle clé dans la propriété intellectuelle. Comment vous en bénéficierez (I) Insights , et des validations sur les sujets suivants : Chapitre 1 : Politique industrielle Chapitre 2 : Économie de la Corée du Sud Chapitre 3 : Libre-échange Chapitre 4 : Industrialisation de substitution aux importations Chapitre 5 : Protectionnisme Chapitre 6 : Les quatre tigres asiatiques Chapitre 7 : Économie du développement Chapitre 8 : Économie de la connaissance Chapitre 9 : Consensus de Washington Chapitre 10 : Dani Rodrik Chapitre 11 : Jomo Kwame Sundaram Chapitre 12 : Économie internationale Chapitre 13 : Industrialisation orientée vers l'exportation Chapitre 14 : État développementiste Chapitre 15 : Miracle de Taiwan Chapitre 16 : Concurrence (économie) Chapitre 17 : Ha-Joon Chang Chapitre 18 : Effet Gerschenkron Chapitre 19 : Économie structuraliste Chapitre 20 : Sanjaya Lall Chapitre 21 : Politique industrielle verte (II) Répondre aux principales questions du public sur la politique industrielle. (III) Exemples concrets d'utilisation de la politique industrielle dans de nombreux domaines. À qui s'adresse ce livre Professionnels, étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs, passionnés, amateurs, et ceux qui souhaitent aller au-delà des connaissances ou des informations de base pour tout type de politique industrielle.
"La mondialisation et son cortège de délocalisations inquiètent. Depuis 1978, l'industrie a perdu 1,5 million d'emplois. La France va-t-elle devenir un pays sans usine ? Toutes les enquêtes d'opinion le montrent, les Français plébiscitent le retour d'une "politique industrielle". Face à l'afflux des investisseurs étrangers et à un capitalisme financier jugé débridé, les Français vont jusqu'à réclamer le "patriotisme économique". On pensait la politique industrielle reléguée au rayon des accessoires obsolètes. Après avoir connu ses heures de gloires dans les années d'après-guerre et jusqu'au début des années 1980, le colbertisme à la française semblait avoir démontré son inefficacité à répondre aux enjeux économiques contemporains. Mais, en quelques années, les termes du débat ont changé. Les récents développements de la théorie économique ont ouvert de nouvelles pistes de promotion de la croissance économique. II n'est plus question de nationalisation, de planification et de dirigisme. Innovation, compétitivité, attractivité sont les nouveaux éléments de vocabulaire de la politique industrielle. L'État entrepreneur a vécu ; l'État stratège, facilitateur, doit s'imposer. En mettant en oeuvre la politique d'offre qui relancera la croissance française. Et en assurant la défense des intérêts nationaux avec la même discrète efficacité que certains gouvernements étrangers. Plutôt qu'un handicap, l'Union européenne devrait constituer un formidable levier pour soutenir cette politique. Une certaine vigilance reste de mise. En France, l'impulsion de l'État est sans cesse recherchée en même temps qu'elle est critiquée. Oui à une "nouvelle" politique industrielle, mais Oui seulement si cette politique correspond à une volonté d'intégration offensive dans la mondialisation"--P. [4] of cover.
Faut-il opposer l'industrie aux services et prédire le déclin de la première au profit des seconds ? En réalité, l'industrie est partout présente et nos sociétés sont envahies par les objets qu'elle fabrique ; la " nouvelle économie " existerait-elle sans la fabrication d'ordinateurs ? L'industrie n'a pas régressé, elle s'est transformée. Ce sont ces mutations que L'industrie dans la nouvelle économie mondiale décrit : cet ouvrage en présente les principaux acteurs (États, firmes, salariés, actionnaires), les secteurs les plus représentatifs, les plus grands producteurs (Triade, pays émergents, pays en transition...), les systèmes de production régionaux les plus typiques. Riche en documents statistiques inédits, cartes et graphiques... et sujets corrigés, cet ouvrage est un outil indispensable pour la préparation aux concours des Écoles de commerce, de l'enseignement (CAPES, agrégation), des IEP de province et de Paris, et aux examens de premier et second cycles universitaires (géographie, économie, AES).
Que faire face au déclin de notre industrie et au risque de son déclassement dans la compétition économique mondiale ? D’abord et avant tout renouveler les grandes infrastructures, celles des transports, de la production d’énergie, des télécommunications. Mais aussi tirer parti de l’explosion du numérique, lame de fond qui révolutionne toutes les filières industrielles et redistribue mondialement toutes les cartes. Or la France dispose d’atouts majeurs pour réussir : une expertise scientifique et technologique reconnue, un savoir-faire industriel et, surtout, une jeunesse instruite et compétente. L’ensemble de l’économie tirera profit de cette refondation industrielle pour peu que, dans sa mise en œuvre, l’on s’affranchisse de la tyrannie du court terme et du low cost et que l’on sache conjuguer les efforts des grands groupes, des PME et des start-up innovantes. Une vision et un programme pour la nécessaire et urgente renaissance industrielle. Polytechnicien et docteur en économie européenne, Didier lombard a exercé des responsabilités au ministère de la Recherche puis au ministère de l’économie, notamment comme directeur des stratégies industrielles puis président de l’Agence française pour les investissements internationaux. P-DG de France Télécom de 2005 à 2010, Didier lombard préside le conseil de Technicolor et siège aux conseils de surveillance de STMicroelectronics et de Radiall ; il préside le comité stratégique du fonds de capital-risque Iris Capital, spécialisé dans le développement de l’économie numérique. Didier Lombard est l’auteur du Village numérique mondial (2008) et de L’Irrésistible Ascension du numérique (2011),
Le XXI siècle verra-t-il l'avènement du Pacifique nord en tant que principal centre économique mondial comme le prédisent de nombreux observateurs? Que cela soit ou non le cas, cette région du monde continuera à peser d'un poids croissant dans les relations économiques internationales. L'Asie joue bien évidemment le premier rôle dans ce ré-équilibrage économique planétaire entamé dès la fin de la seconde guerre mondiale. Le dynamisme dont ont su faire preuve au cours des deux ou trois dernières décennies nombre de pays en développement d'Extrême Orient et d'Asie du sud-est en est largement à l'origine. Leur percée économique sur le marché mondial est principalement due à l'adoption de stratégies d'industrialisation dont la conception rigoureuse et la mise en application pragmatique ont garanti l'efficacité. Tout à la fois par son ampleur et sa rapidité, ce phénomène d'industrialisation en cascade est tout à fait exceptionnel dans l'histoire de l'humanité. Il mérite donc largement que l'on se penche sur les conditions qui ont présidé à son déclenchement puis à son essor ainsi que sur les conséquences qui en ont résulté, tant pour le développement économique et social des pays asiatiques concernés que pour certains secteurs d'activité du vieux monde industrialisé auquel il lance un fameux défi de concurrence, de remise en cause et d'imagination. Tel est le double éclairage à partir duquel plusieurs chercheurs francophones spécialisés sur le développement de l'Asie orientale ainsi que sur les problèmes d'industrialisation et d'échanges commerciaux dans le Tiers-Monde ont accepté de réfléchir ensemble à l'initiative du Centre de recherche sur l'Asie moderne (CRAM) conjointement soutenu par l'IUHEl et l'IUED de Genève. Cet ouvrage est le résultat de leur travail collectif. Comblant une lacune importante dans la littérature française sur l'industrialisation de l'Asie et ses conséquences pour le reste du monde, il s'adresse au public éclairé comme aux professionnels de l'industrie ou aux chercheurs universitaires et étudiants se spécialisant sur les questions de développement. Il devrait fournir à tous de nouveaux éléments d'analyse permettant de mieux appréhender les questions d'interdépendance et de compétition accrue à l'échelle mondiale ainsi que celles touchant à la restructuration au Nord et au redéploiement au Sud du tissu industriel de la planète.
La collection « Stratégie et Management », dirigée par Raymond-Alain Thiétart, regroupe un ensemble d’ouvrages dédiés au management et à la stratégie des entreprises. Au-delà d’ouvrages fondamentaux ayant trait à la formulation de la stratégie, aux structures organisationnelles, à la planification, au contrôle stratégique et à l’animation des hommes, elle comprendra également des titres traitant du management de la technologie, de l’innovation, de la revitalisation industrielle, de la gestion de la firme multinationale... L’objectif de la collection est de présenter de façon claire et complète les grandes approches et techniques en matière de stratégie et de management et d’analyser les préoccupations majeures qui commencent à se faire jour dans ce domaine. La collection ne se limite pas à un exposé des outils disponibles, mais aborde des problèmes de fond sans l’analyse desquels tout ouvrage demeurerait un simple inventaire de recettes à l’application limitée. Toutefois, l’orientation inverse péchant par excès d’académisme est proscrite. Un équilibre entre ces deux tendances a été adopté : ouvrages conceptuellement forts, tout en étant d’accès facile, et pertinents en termes d’adéquation avec la réalité des entreprises. Ce livre traite de la stratégie et du management de cet appareil énorme qu’est l’État. Traditionnellement, l’État a été le domaine exclusif des économistes, des politistes et des sociologues des organisations. Ici, ce sont les méthodes et les concepts du management et de la théorie des organisations qui sont utilisés pour apporter une compréhension nouvelle des limites qui s’imposent à l’action des décideurs de l’État. Les entreprises publiques sont des instruments privilégiés de l’action économique directe de l’État. C’est pourquoi elles sont le point focal de l’étude proposée ici. Leur gestion stratégique est analysée en détail et illustrée grâce à des exemples de décisions importantes prises par de grandes entreprises publiques de nombreux pays développés ou en voie de développement. L’accent est mis surtout sur ce que cela signifie pour les relations entre l’État et l’entreprise publique et donc pour le développement de stratégies économiques dans lesquelles elles ont un rôle crucial à jouer. Une des conclusions les plus importantes est que les entreprises publiques finissent, avec le temps, par avoir des comportements tout à fait comparables à ceux des entreprises du secteur privé. Elles veillent notamment à protéger leur autonomie de décision des interventions extérieures, y compris de celles de l’État. En conséquence, on ne peut leur faire faire ce qu’on veut tout le temps. L’État serait sûrement plus efficace et peut-être plus sage s’il reconnaissait ces contraintes et institutionnalisait le caractère temporaire du contrôle qu’il exerce sur les entreprises publiques.
Les règles relatives aux libertés de circulation et à la concurrence sont désormais le cadre à partir duquel sont pensées et mises en oeuvre les politiques micro-économiques, et, en particulier, la politique industrielle et la politique de l’innovation. Cet ouvrage expose les fondements actuels de ces deux politiques en France, en les replaçant dans leur contexte historique et en remettant en perspective l’évolution des concepts et théories économiques qui leur servent de justification. Politique de l’innovation et politique industrielle présente les principales évolutions institutionnelles qu’a connues la France au sujet de ces deux politiques à partir d’un nouveau cadre concurrentiel. Il offre également une analyse des difficultés pour les pouvoirs publics à lier ces politiques matricielles, puisqu’il s’agit à présent d’articuler des interventions horizontales et verticales.