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La réussite en première année à l'Université est une question sociale récurrente depuis une trentaine d'années. Aux publics traditionnels des bacheliers généraux s'ajoutent aujourd'hui ceux des filières technologiques et professionnelles, renforçant ainsi la problématique de leur réussite. L'objectif de ce livre est de montrer de manière vivante comment les étudiants vivent leurs premières semaines à l'université dans leurs problématiques de travail universitaire, de vie sociale et personnelle.
Les phénomènes d'échec et d'abandon dans l’enseignement supérieur, en première année d’études en particulier, interpellent par leur ampleur. Comment expliquer ces taux d’échec et d’abandon ? Que mettre en place pour y remédier...
Notre étude se centre sur l'échec ou la réussite des étudiants en premier cycle à l'université de La réunion. Notre recherche consiste à comprendre les représentations de quelques enseignants en première année de DEUG sur le phénomène étudié ? Notre enquête porte 38 questionnaires et 38 entretiens concernant la perception et les attributions de l'échec et de la réussite en première année universitaire. A l'issue de nos recherche, on constate que les causes de l'échec relèvent d'un manque de motivation, d'un manque de projet, ainsi qu'une non affiliation au métier d'étudiant.
Depuis son fort développement dans le dernier tiers du XXe siècle, l’enseignement supérieur est confronté à des taux d’échec et d’abandon élevés qui sont régulièrement dénoncés comme autant de gaspillages sociaux, humains et financiers. De surcroît, il lui est demandé d’élever le niveau de formation des jeunes tout en faisant preuve d’une plus grande justice sociale. Face à ces impératifs, les établissements sont incités à lutter contre l’échec et les étudiants contraints à réussir leurs études. Mais que signifie « réussir des études » ? Accéder à la formation et à l’établissement désirés, atteindre un certain niveau d’études, acquérir des compétences utiles sur le marché du travail ou seulement obtenir le diplôme ? Et quels facteurs sont associés à la réalisation d’un parcours réussi ? Le phénomène apparaît bien plus complexe qu’il n’en a l’air : il dépend à la fois des conditions d’accès et de sélection des établissements, des pratiques pédagogiques des enseignants et des caractéristiques des étudiants. Par ailleurs, certaines structures d’enseignement supérieur mettent en place des politiques et des dispositifs de détection et de prévention du décrochage et de d’abandon des études. Sont-ils efficaces et équitables ? Réunissant les contributions de chercheurs en économie, en psychologie, en sciences de l’éducation et en sociologie, l’ouvrage tente de répondre à ce problème social en offrant une synthèse des travaux récents dans des contextes nationaux variés (Belgique, France, Québec, Suisse).
De nombreux chercheurs ont tenté de comprendre les causes de l'échec en première année universitaire, phénomène de grande ampleur, en mettant à jour l'impact sur la réussite de certains facteurs tels que ceux relatifs au pasé scolaire ou au "métier d'étudiant" , et la quasi absence de rôle des caractéristiques socio démographiques, des conditions de vie ou du contexte universitaire sur les résultats des étudiants. Ce mémoire se propose de faire une synthèse de tous ces travaux de recherche, de vérifier quels sont les facteurs exerçant l' impact le plus important sur la réussite et de s'intéresser plus particulièrement au rôle des capacités cognitives, jusqu'à alors très peu abordées par la littérature scientifique. Construits grâce à des données fournies par l'enquête ANR "COMPSUP", les résultats présentés ici concernent 410 étudiants de L1 des filières Droit, AES et psychologie de l'Université de Bourgogne. Ils montrent que les capacités cognitives ne jouent pas sur les résultats des étudiants au premier semestre. Tout se passe en réalité comme si seuls ceux disposant des capacités suffisantes avaient fait le choix d'entrer à l'université, les autres ayant opté pour un autre type d'orientation auparavant. Le passé scolaire et le niveau initial demeurent quant à eux les éléments les plus prédicateurs de la réussite des nouveaux entrants à l'université.
On sait que les taux d'échec à la fin de la première année à l'université en France sont importants. Les échecs concernent avec à peu près la même fréquence les étudiants de sciences dont le cursus antérieur est caractérisé par une bonne réussite que ceux qui entrent en première année d'AES, dont la réussite fut, au contraire, moyenne. Cet aspect de l'échec en deug suggère que ce sont les conditions de travail à l'université qui expliquent, pour partie, les résultats des étudiants. On s'est proposé d'expliquer ce phénomène en adoptant un point de vue inspiré de la sociologie du travail. On a voulu analyser le mode d'adaptation des étudiants à la situation de travail à laquelle ils se trouvent confrontés au cours de leur première année d'études universitaires. La démarche adoptée repose sur un travail de terrain prolongé auprès des étudiants de deux filières -sciences et AES- inscrits dans quatre universités.
« La réussite en première année à l'Université est une question sociale récurrente depuis une trentaine d'années. Aux publics traditionnels des bacheliers généraux s'ajoutent aujourd'hui ceux des filières technologiques et professionnelles, renforçant ainsi la problématique de leur réussite. L'objectif de ce livre est de montrer de manière vivante comment les étudiants vivent leurs premières semaines à l'université dans leurs problématiques de travail universitaire, de vie sociale et personnelle. »--
L'échec enregistré en première année dans les universités françaises est un constat préoccupant. Nous avons mené une étude à ce propos au sein de la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion qui accueille des effectifs massifs d'étudiants et en particulier un nombre important de non francophones. Nous avons essayé de déterminer les facteurs qui conduisent ces derniers à l'échec dès leur entrée à l'université. Or, les Sciences Economiques et de Gestion constituent une filière qui fonde son enseignement sur deux genres académiques, les cours magistraux et les travaux dirigés. Cette transmission des savoirs disciplinaires constitue également en première année une initiation aux "langues de spécialité" correspondantes. Les résultats de notre recherche montrent l'existence d'une corrélation significative entre d'une part un double phénomène langagier, la nature complexe des genres académiques utilisés et la maîtrise insuffisante de la langue française par les étudiants étrangers, et d'autre part leur échec en première année universitaire. Tout au long de notre recherche, nous avons montré que ces discours académiques dans leurs aspects à la fois magistral et oral engendrent des difficultés de compréhension majeures chez les étudiants étrangers. Parallèlement, à cette analyse, nous avons mené une étude "sociologique" qui nous a montré que l'importance quantitative et l'auto-orientation aléatoire des étudiants étrangers contribuent aussi à expliquer les déconvenues de fin d'année. Une éventuelle aide à l'orientation universitaire des étudiants étrangers ne peut intervenir que trop tard, une fois leur inscription faite depuis leurs pays d'origine dans les disciplines "de leur choix" en France. En conclusion de notre recherche nous avons effectué quelques propositions didactiques relatives au perfectionnement des compétences cognitives, techniques et langagières des étudiants en difficulté.
This book, a collection of ancient Chinese cultural relics from the Northern and Southern Dynasties from 960 to 1279. It covers jade and bronze ware, gold and silver ware and porcelain ware, pottery, porcelain, painting, calligraphy, and handicrafts. There are 363 relics in the book. In 960, Zhao Kuangtin, commander of the imperial guard troops of the later Zhou Dynasty staged a mutiny at Chenqiao and proclaimed himself emperor. He named his new dynasty the Song Dynasty and chose Dongling Kaifeng for the capital. This dynasty now called the Northern Song in history, gradually eliminated rival regimes and ended the separation of the Five Dynasties and Ten Kingdoms, co-existing with the Liao Regime established by the Qidan ethic group and Western Xia Regime established by the Dangxian ethic group. In 1127 Emperors Huizong and Quinzong were taken captive by the Jin Dynasty established by the Jurchen people, thus ending the Northern Song Dynasty. In the same year, Zhao Gou, then King King, established the imperial court of Song and moved the capital to Linhan (present day Hangzhou City in Zhejiang). This is what history calls the Southern Song Dynasty, and formed a glance at the Jin and Western Xia. In this period, thanks to easy politics and a relatively emancipated ideology, great achievements were obtained in various scientific technologies, theoretical trends, academic schools, religious thought and literary creation and the arts also showed an unprecedented prosperous science. Jade ware penetrated various aspects of social life, and he shapes, decorations and patterns all showed a distinctive secularisation. The invasion of northern nomads introduced a new cultural atmosphere to the Central Plains. The porcelain kilns could be found everywhere and finally developed into eight major systems: Ding, Yaozhou, Cizhou, Jun, Yuezhou, Longquan, Jingdezhen blueish white porcelain and Jian kilns. As well, there were four major royal kilns: Ru Kiln and Jun Kiln of the Northern Song Dynasty and Xiunesisi Kiln and Jiaotanxia Kiln of the Southern Dynasty. The arts of calligraphy and painting were typical representatives of the flourishing culture in the Song Dynasty. During this period an imperial art academy was founded, enlisting folk artists and a large number of professional painters were trained. Calligraphers of the Northern and Southern Song Dynasties inherited previous styles but also emphasised the representation of the individual subjective will. Other handicrafts developed: gold and silver ware tended to be light, handy and graceful. In the Song Dynasty, people has less costly funerals so less jade has been unearthed. Those that have are in: Sichuan, Zhejiang and Jiangxis. The emphasis is on practical utensils, drinking vessels, dress adornments and accessories. At the same time, there was progress in the technologies of jade carving: layered piercing and large-scale jade ware. This book, the sixth in a ten-volume collection, brings to the English-speaking world a series of books from China which has been complied by an Expert Committee of the Chinese Society of Cultural Relics. There are 363 descriptions.