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Alphonse Aulard (1849-1928) was the first French historian to use nineteenth-century historicist methods in the study of the French Revolution. Pioneered by German historians such as Leopold van Ranke, this approach emphasised empiricism, objectivity and the scientific pursuit of facts. Aulard's commitment to archival investigation is evidenced by the many edited collections of primary sources that appear in his extensive publication record. In these eight volumes of papers analysing the French Revolution (published 1893-1921), Aulard sought to apply the principles of historicism to reveal the truth. The work draws on earlier journal articles and lectures which Aulard delivered as Professor of the History of the French Revolution at the Sorbonne, a post he had held since 1885. Volume 7 (1913) includes essays on feudalism under Louis XVI, regionalism, centralisation, Carlyle's history of the Revolution (also reissued in this series), economic history, and Aulard's personal reflections on his teaching career.
Gennemgang af franske håndvåben, skytstyper(artilleri) og tilhørende ammunition samt traktorer, kampvogne, luftværnsskyts m.v. 1717 - 1938.
Engineering the Revolution documents the forging of a new relationship between technology and politics in Revolutionary France, and the inauguration of a distinctively modern form of the “technological life.” Here, Ken Alder rewrites the history of the eighteenth century as the total history of one particular artifact—the gun—by offering a novel and historical account of how material artifacts emerge as the outcome of political struggle. By expanding the “political” to include conflict over material objects, this volume rethinks the nature of engineering rationality, the origins of mass production, the rise of meritocracy, and our interpretation of the Enlightenment and the French Revolution.
Analyse : (p. 253-254) Dans le chapitre consacré au parallèle entre Bonaparte et Cromwell, l'auteur cite un bref extrait des "Mélanges de Littérature et Politique". Constant y compare le Parlement sous Cromwell et le Tribunat sous Bonaparte.
Comme l’indique le titre, Le mythe du sale boche, les Allemands ne sont pas les ultimes « vilains » de l’histoire. Ils ne sont pas non plus, comme le veut la version officielle, les saboteurs de la paix européenne et la cause des deux Guerres mondiales du siècle dernier. Les atrocités qu’ils auraient soi-disant perpétrées durant ces conflits armés furent inventées de toute pièce par la propagande alliée afin d’obtenir l'appui de l'opinion publique. La propagande de la Shoah, qui est apparue après la Seconde Guerre mondiale, a par ailleurs grandement contribué à consolider cette haine du « sale boche ». Mais cette version officielle de l’histoire est-elle véridique ? L'Allemagne est-elle réellement l'incarnation du mal absolu ? Dans ce livre, l'auteur brosse un tableau différent. Il explique en effet que l'Allemagne n'était la cause ni de la Première ni de la Seconde Guerre mondiale, mais dans les deux cas, la victime de l’agression des alliés. L'instabilité engendrée par la guerre 14-18 a permis à la révolution bolchévique russe de 1917 d’éclater, ce qui a apporté au monde le communisme. Or, Hitler et l'Allemagne ont tout de suite compris que le communisme international, de sa base en Union soviétique, était une menace existentielle non seulement pour l'Occident, mais pour toute la civilisation chrétienne. L'Allemagne hitlérienne a dès lors amorcé une lutte à mort contre cette idéologie sanguinaire. Loin d'être le saboteur de la paix européenne, l'Allemagne, en s’érigeant en rempart, a donc empêché la révolution bolchévique de s’étendre à toute l'Europe. Il est dommage que les alliés n'aient pas vu la Russie communiste sous le même jour que l’Allemagne. Cette alliance entre les pays occidentaux et le communisme a eu des conséquences désastreuses sur la civilisation occidentale chrétienne. L'auteur se dit convaincu que la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis se sont battus du mauvais côté.