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Cet ouvrage vient clôturer deux années de réflexion intensive sur les enjeux à l’intersection entre la justice sociale et les technologies d’IA. Une compréhension de ces impacts sociétaux dépasse alors l’aspect technique pour se concentrer principalement sur le fait social.
Cross-disciplinary scientific collaboration is emerging as standard operating procedure for many scholarly research enterprises. And yet, the skill set needed for effective collaboration is neither taught nor mentored. The goal of the Toolbox Dialogue Initiative is to facilitate cross-disciplinary collaboration. This book, inspired by this initiative, presents dialogue-based methods designed to increase mutual understanding among collaborators so as to enhance the quality and productivity of cross-disciplinary collaboration. It provides a theoretical context, principal activities, and evidence for effectiveness that will assist readers in honing their collaborative skills. Key Features Introduces the Toolbox Dialogue method for improving cross-disciplinary collaboration Reviews the theoretical background of cross-disciplinary collaboration and considers the communication and integration challenges associated with such collaboration Presents methods employed in workshop development and implementation Uses various means to examine the effectiveness of team-building exercises Related Titles Fam, D., J. Palmer, C. Riedy, and C. Mitchell. Transdisciplinary Research and Practice for Sustainability Outcomes (ISBN: 978-1-138-62573-0) Holland, D. Integrating Knowledge through Interdisciplinary Research: Problems of Theory and Practice (ISBN: 978-1-138-91941-9) Padmanabhan, M. Transdisciplinary Research and Sustainability: Collaboration, Innovation and Transformation (ISBN: 978-1-138-21640-2)
Political consumerism is turning the market into a site for politics and ethics. It is consumer choice of producers and products on the basis of attitudes and values of personal and family well-being as well as ethical or political assessment of business and government practice. In the face of economic globalization and a regulatory vacuum, consumers increasingly take responsibility in their own hands, making the market an important venue for political action through their decisions of what to purchase. This book opens the readers' eyes to a new way of viewing everyday consumer choices and the role of the market in our lives, illuminating the broader theoretical and historical context of concerns about sweatshops, responsible coffee, and ethical and free trade. Contemporary forms of political consumerism - boycotts, labelling schemes, stewardship certification, socially responsible investing, etc. - are described and evaluated. Individual actions are shown to be important in the complexity of globalization.
This insightful book analyses the process of the first adoption of guiding human rights principles for education, the Abidjan Principles. It explains the development of the Abidjan Principles, including their articulation of the right to education, the state obligation to provide quality public education, and the role of private actors in education.
Le Manuel de référence sur les systèmes de mise en œuvre de la protection sociale synthétise les expériences et les leçons apprises des systèmes de mise en œuvre de la protection sociale à travers le monde. Il adopte un concept de la protection sociale large, qui couvre différentes populations telles que les familles pauvres ou à faible revenu, les chômeurs, les personnes handicapées et les personnes confrontées à des risques sociaux. Il analyse différents types d’interventions des gouvernements pour la protection des individus, des familles ou des ménages, au travers de programmes spécifiques allant de programmes ciblant la pauvreté, aux prestations et services en faveur de l’emploi, et aux prestations et services au bénéfice des personnes handicapées et d’autres services sociaux. Ce Manuel de référence cherche à répondre à différentes questions pratiques soulevées au cours de la mise en œuvre, en particulier : • Comment les pays mettent-ils en œuvre les prestations et services de protection sociale ? • Comment le font-ils avec l’efficacité et l’efficience voulues ? • Comment assurent-ils une inclusion dynamique, en particulier celle des personnes les plus vulnérables et les plus défavorisées ? • Comment favorisent-ils une meilleure coordination et intégration non seulement entre les différents programmes de protection sociale mais aussi avec les programmes mis en œuvre par d’autres acteurs gouvernementaux ? • Comment peuvent-ils répondre aux besoins des populations ciblées et assurer une meilleure expérience client ? Le cadre de mise en œuvre des systèmes de protection sociale précise les principaux éléments de cet environnement opérationnel. Il se décline en différentes phases qui s’échelonnent tout au long de la chaîne de mise en oeuvre. Ces phases sont les lieux d’interactions entre différents acteurs, parmi lesquels des personnes et des institutions. La communication, les systèmes d’information et la technologie facilitent ces interactions. Ce cadre peut s’appliquer à la mise en œuvre d’un ou plusieurs programmes ainsi qu’à la mise en place d’une protection sociale adaptative. Le Manuel de référence des systèmes de mise en œuvre de la protection sociale s’articule autour de huit principes clés qui constituent le code de conduite de la mise en œuvre : 1. Les systèmes de mise en œuvre ne suivent pas un modèle unique, mais tous les modèles partagent des points communs qui forment le coeur du cadre de mise en œuvre des systèmes de protection sociale. 2. La qualité de la mise en œuvre a une grande importance et la faiblesse de l’un des éléments constitutifs de la chaîne de mise en œuvre affectera négativement l’ensemble de celle-ci et réduira les impacts du ou des programmes qui lui sont associés. 3. Les systèmes de mise en œuvre évoluent dans le temps, de manière non linéaire et leur point de départ est important. 4. Dès le début de la mise en œuvre, des efforts devront être déployés pour « garder les choses simples » et pour « bien faire les choses simples ». 5. Le premier segment de la chaîne, à savoir l’interface entre les futurs bénéficiaires et l’administration, est souvent son maillon le plus faible. Son amélioration peut nécessiter des changements systémiques, mais ceux-ci contribueront considérablement à l’efficacité globale et atténueront les risques d’échec de cette interface. 6. Les programmes de protection sociale ne fonctionnent pas dans le vide et, par conséquent, leur système de mise en œuvre ne doit pas être développé en vase clos. Des opportunités de synergies entre institutions et systèmes d’information existent et les saisir peut améliorer les résultats des programmes. 7. Au-delà de la protection sociale, ces systèmes de mise en œuvre peuvent aussi améliorer la capacité des gouvernements à fournir d’autres prestations ou services, comme les subventions à l’assurance maladie, les bourses d’études, les tarifs sociaux de l’énergie, les allocations logement et l’accès aux services juridiques. 8. L’inclusion et la coordination sont des défis omniprésents et permanents. Pour les relever, il faut donc améliorer de façon continue les systèmes de mise en œuvre à travers une approche dynamique, intégrée et centrée sur la personne.
La démocratisation de l'informatique, puis des usages de l'internet, de la téléphonie mobile, ou plus récemment d'autres objets communicants génèrent une profusion de traces numériques gardant en mémoire les actions des usagers. Approuvé par certains qui y voient l'opportunité d'améliorer la sécurité publique, la relation marchande ou encore leur propre confort quotidien, ce constat fait craindre à d'autres l'avènement d'une société de la surveillance érodant le respect de la vie privée. Cet ouvrage étudie la notion d'espace privé à l'ère du numérique. Il montre comment les changements technologiques, de services et d'usages redéfinissent l'acceptation traditionnelle de la vie privée fondée sur des normes, et comment, en complément du dispositif normatif existant, des modalités de régulation appropriables par les individus sont envisagées.
This book presents a structured yet flexible methodology for developing intercultural competence in a variety of contexts, both formal and informal. Piloted around the world by UNESCO, this methodology has proven to be effective in a range of different contexts and focused on a variety of different issues. It, therefore can be considered an important resource for anyone concerned with effectively managing the growing cultural diversity within our societies to ensure inclusive and sustainable development. Intercultural competence refers to the skills, attitudes, and behaviours needed to improve interactions across difference, whether within a society (differences due to age, gender, religion, socio-economic status, political affiliation, ethnicity, and so on) or across borders. The book serves as a tool to develop those competences, presenting an innovative adaptation of what could be considered an ancient tradition of storytelling found in many cultures. Through engaging in the methodology, participants develop key elements of intercultural competence, including greater self-awareness, openness, respect, reflexivity, empathy, increased awareness of others, and in the end, greater cultural humility. This book will be of great interest to intercultural trainers, policy makers, development practitioners, educators, community organizers, civil society leaders, university lecturers and students – all who are interested in developing intercultural competence as a means to understand and appreciate difference, develop relationships with those across difference, engage in intercultural dialogue, and bridge societal divides.
The notion of the dispositif (dispositive) is particularly relevant for understanding phenomena where one can observe the reproducibility of distributed technical activities, operational or discursive, between human and non-human actors. This book reviews the concept of the dispositive through various disciplinary perspectives, analyzing in turn its technical, organizational and discursive dimensions. The relations of power and visibility enrich these discussions. Regarding information and communication sciences, three main uses of this concept are presented, on the one hand to illustrate the heuristic scope of issues integrating the dispositive and, on the other hand, to demonstrate its unifying aspect in this disciplinary field. The first use concerns the complexity of media content production; the second relates to activity traces using the concept of the “secondary information dispositive”; finally, the third involves the use of the dispositive in contexts of digital participation.