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Notre étude se centre sur l'échec ou la réussite des étudiants en premier cycle à l'université de La réunion. Notre recherche consiste à comprendre les représentations de quelques enseignants en première année de DEUG sur le phénomène étudié ? Notre enquête porte 38 questionnaires et 38 entretiens concernant la perception et les attributions de l'échec et de la réussite en première année universitaire. A l'issue de nos recherche, on constate que les causes de l'échec relèvent d'un manque de motivation, d'un manque de projet, ainsi qu'une non affiliation au métier d'étudiant.
La réussite en première année à l'Université est une question sociale récurrente depuis une trentaine d'années. Aux publics traditionnels des bacheliers généraux s'ajoutent aujourd'hui ceux des filières technologiques et professionnelles, renforçant ainsi la problématique de leur réussite. L'objectif de ce livre est de montrer de manière vivante comment les étudiants vivent leurs premières semaines à l'université dans leurs problématiques de travail universitaire, de vie sociale et personnelle.
On sait que les taux d'échec à la fin de la première année à l'université en France sont importants. Les échecs concernent avec à peu près la même fréquence les étudiants de sciences dont le cursus antérieur est caractérisé par une bonne réussite que ceux qui entrent en première année d'AES, dont la réussite fut, au contraire, moyenne. Cet aspect de l'échec en deug suggère que ce sont les conditions de travail à l'université qui expliquent, pour partie, les résultats des étudiants. On s'est proposé d'expliquer ce phénomène en adoptant un point de vue inspiré de la sociologie du travail. On a voulu analyser le mode d'adaptation des étudiants à la situation de travail à laquelle ils se trouvent confrontés au cours de leur première année d'études universitaires. La démarche adoptée repose sur un travail de terrain prolongé auprès des étudiants de deux filières -sciences et AES- inscrits dans quatre universités.
« La réussite en première année à l'Université est une question sociale récurrente depuis une trentaine d'années. Aux publics traditionnels des bacheliers généraux s'ajoutent aujourd'hui ceux des filières technologiques et professionnelles, renforçant ainsi la problématique de leur réussite. L'objectif de ce livre est de montrer de manière vivante comment les étudiants vivent leurs premières semaines à l'université dans leurs problématiques de travail universitaire, de vie sociale et personnelle. »--
De nombreux chercheurs ont tenté de comprendre les causes de l'échec en première année universitaire, phénomène de grande ampleur, en mettant à jour l'impact sur la réussite de certains facteurs tels que ceux relatifs au pasé scolaire ou au "métier d'étudiant" , et la quasi absence de rôle des caractéristiques socio démographiques, des conditions de vie ou du contexte universitaire sur les résultats des étudiants. Ce mémoire se propose de faire une synthèse de tous ces travaux de recherche, de vérifier quels sont les facteurs exerçant l' impact le plus important sur la réussite et de s'intéresser plus particulièrement au rôle des capacités cognitives, jusqu'à alors très peu abordées par la littérature scientifique. Construits grâce à des données fournies par l'enquête ANR "COMPSUP", les résultats présentés ici concernent 410 étudiants de L1 des filières Droit, AES et psychologie de l'Université de Bourgogne. Ils montrent que les capacités cognitives ne jouent pas sur les résultats des étudiants au premier semestre. Tout se passe en réalité comme si seuls ceux disposant des capacités suffisantes avaient fait le choix d'entrer à l'université, les autres ayant opté pour un autre type d'orientation auparavant. Le passé scolaire et le niveau initial demeurent quant à eux les éléments les plus prédicateurs de la réussite des nouveaux entrants à l'université.
Le but de ce travail est de déterminer des facteurs permettant d'expliquer la réussite, l'échec et l'abandon des étudiants en fin de première année de DEUG à l'Université de Clermont-Ferrand. Une première partie est consacrée à une description multivariée de la population étudiée. Celle-ci a été faite d'une part grâce à une enquête statistique (une population témoin constituée par des étudiants de l'IUT et d'élèves de Mathématiques supérieures a été utilisée). A la lumière des résultats ainsi obtenus, une étude statistique a été faite, utilisant les méthodes de segmentation et d'analyse discriminante, afin de déterminer les variables expliquant la réussite, l'échec et l'abandon. Il ressort essentiellement de cette étude que si le niveau en début d'année en algèbre linéaire est important pour expliquer le bilan de fin d'année, le niveau d'engagement dans les études entreprises est aussi fondamental.
CETTE THESE EST UNE REFLEXION SUR UN PROBLEME CRUCIAL D'ECHEC UNIVERSITAIRE EN PREMIER CYCLE NOTAMMENT EN PREMIERE ANNEE. APPLIQUEE AU CAS DU DEUG B A L'UNIVERSITE DE BOURGOGNE, ELLE ABORDE LA QUESTION DE SES DETERMINANTS ET EXAMINE AVEC BEAUCOUP D'ATTENTION METHODOLOGIQUE L'EFFICACITE DE LA FILIERE “SPESS” (SEMESTRE DE PREPARATION AUX ETUDES SCIENTIFIQUES SUPERIEURES) MISE EN PLACE POUR TENTER DE PARFAIRE L'INSERTION DES ETUDIANTS FAIBLES; SA NOUVELLE VERSION ETANT LE CONTRAT DE SOUTIEN PEDAGOGIQUE (CSP). CENTREE UNIQUEMENT SUR LES CARACTERISTIQUES SCOLAIRES, UNIVERSITAIRES ET SOCIO-DEMOGRAPHIQUES, LA STRUCTURE DE LA POPULATION A NEGLIGE LES VARIABLES PSYCHOLOGIQUES FAUTE D'INFORMATIONS D'UNE PART, ET DE L'AUTRE, A CAUSE DE LEUR TRES FAIBLE EFFET NET SIGNALE PAR DE NOMBREUX TRAVAUX QUI FONT OBSERVER UNE FORTE CORRELATION ENTRE CES VARIABLES ET LE PARCOURS SCOLAIRE. UNE GRANDE PARTIE DE CETTE RECHERCHE DECRIR, A PARTIR DES TRIS A PLAT ET CROISES, LA POPULATION ETUDIEE, L'ORGANISATION DE LA FORMATION ET LE PRODUIT INTERNE. PRENANT APPUI SUR LES DEVELOPPEMENTS THEORIQUES DE L'ESTIMATION DE LA FONCTION DE PRODUCTION DES ACQUISITIONS ET DU MODELE COUT-EFFICACITE, LA PARTIE EMPIRIQUE SE FOCALISE SUR LES MODELISATIONS LINEAIRE ET LOGISTIQUE ASSOCIEES RESPECTIVEMENT A L'EXPLICATION DES DIFFERENCES DES SCORES (SUR 20) ET A CELLE DES CHANCES DE REUSSITE FINALE (PASSAGE DANS L'ANNEE SUPERIEURE). LES RESULTATS INDIQUENT UNE TRES FORTE IMPLICATION DES ACQUISITIONS INITIALES (SCOLAIRES ET UNIVERSITAIRES) ET UN EFFET NEGATIF IMPRESSIONNANT DU “SPESS”.
La question de la réussite des étudiants en première année universitaire est présente dans les préoccupations politiques actuelles au regard de l’échec massif la caractérisant. L’enjeu de cette thèse réside dans la compréhension des mécanismes qui régissent la réussite universitaire, en adoptant une démarche quantitative et intégrative. A cette fin, des données ont été récoltées sur un peu plus de 700 étudiants en première année de Licence de trois filières (AES, Droit et Psychologie) à l’Université de Bourgogne. Les informations recueillies permettent de contrôler un ensemble de facteurs relatifs aux caractéristiques socio-démographiques et scolaires des étudiants. Deux focus plus spécifiques caractérisent cette thèse : une mesure fine des capacités cognitives des étudiants à leur entrée à l’université et une mesure de leur motivation en cours d’année. Il ressort que le passé scolaire des étudiants est un déterminant particulièrement fort dans la prédiction de la réussite universitaire. Ce déterminisme scolaire est cependant nuancé par l’effet indirect de l’origine sociale, établissant la persistance d’inégalités sociales de réussite au niveau universitaire. Les capacités cognitives exercent elles aussi un effet médiatisé par le parcours scolaire, jouant positivement sur la réussite. A ces facteurs déterminés préalablement à l’entrée à l’université, s’ajoute le projet personnel de l’étudiant. Un choix établi par intérêt pour la discipline augure de meilleures chances de réussite. Les capacités motivationnelles de l’étudiant se répercutent quant à elles plus directement sur la réussite. Mesurée dans le cadre de la théorie de l’autodétermination, la motivation intrinsèque exerce une influence positive tandis que l’amotivation se traduit par de moins bonnes performances. Par ailleurs, la motivation est un atout pour les bons étudiants, mais ne joue qu’un rôle plus modéré pour les étudiants moyens et même nul pour les plus faibles. Ce résultat est éclairé par l’effet positif du sentiment de compétence sur la réussite, médiatisé par une motivation intrinsèque plus élevée.