Download Free Reussir Sa Premiere Annee A Luniversite Book in PDF and EPUB Free Download. You can read online Reussir Sa Premiere Annee A Luniversite and write the review.

Réel "mode d'emploi" pour suivre et réussir des cours dans tous les domaines des études supérieures.
Il existe de multiples raisons au taux élevé d'abandon en première année. Ce phénomène d'« évaporation » des nouveaux étudiants est étudié dans de nombreux pays comme un moment crucial dans la transition entre le secondaire et le supérieur. Il n'est pas toujours facile pour un lycéen de décider de son avenir en très peu de temps, après son baccalauréat et d'assumer de nouvelles responsabilités d'adulte sans la surveillance de ses parents et/ou de ses enseignants. Les études universitaires exigent la mise en actions d'un certain nombre d'habiletés qui ne sont pas toujours maîtrisées au sortir du lycée. Il ne s'agit pas seulement d'habiletés cognitive-informationnelles. Ce travail se focalise aux éléments macrosociologiques et microsociologiques dans la relation que les étudiants établissent avec l'acte d'apprendre. Nous cherchions à savoir pour quelles raisons les étudiants décident de décrocher ou de persévérer malgré les difficultés ? Quel est le rôle de l'environnement d'études dans cette transition? En quoi l'image de l'université et de l'apprentissage peuvent exercer un impact sur ce passage ?Afin de mieux cerner les enjeux de ce passage nous avons procédé à une étude qualitative fondée sur les entretiens compréhensifs. Nous avons interviewé les étudiants de première année en six filières et dans quatre universités en région parisienne. Nous avons approché les étudiants qui avaient des difficultés. Ils nous en ont parlé ainsi des raisons de leur déception. À travers leur point de vue sur l'acte d'apprendre, leur perspective et leur image des études à l'université nous avons pu mettre en évidence certaines causes qui peuvent expliquer le décrochage ou la persévérance en première année universitaire. Quatre types de difficultés sont distingués : cognitives, métacognitives, d'intégration et motivationnelles. Une analyse plus avancée de nos données nous a révélé que ces difficultés n'ont pas eu le même poids sur la transition de ces étudiants. Les analyses des entretiens ont révélé l'importance de la microsocialisation au sein de petits groupes d'étudiants notamment entre les amis. Nous avons constaté que les micro-intégrations pouvaient combler l'absence des macro-intégrations et sont même parfois plus importantes. Nos analyses ont montré que certains facteurs d'intégration sociale peuvent modifier l'influence des facteurs prédictifs de décrochage.Nous avons également appréhendé certains facteurs capables de renforcer ou d'appauvrir le sens de l'apprendre de l'étudiant et sa persévérance.
« La réussite en première année à l'Université est une question sociale récurrente depuis une trentaine d'années. Aux publics traditionnels des bacheliers généraux s'ajoutent aujourd'hui ceux des filières technologiques et professionnelles, renforçant ainsi la problématique de leur réussite. L'objectif de ce livre est de montrer de manière vivante comment les étudiants vivent leurs premières semaines à l'université dans leurs problématiques de travail universitaire, de vie sociale et personnelle. »--
"Véritable guide de l'étudiant, ce livre se consacre d'abord à la description du monde universitaire et des différents parcours possibles ... Ce manuel présente en détail les différents types d'exercices rencontrés, illustrés d'exemples corrigés. Apportant des conseils pratiques et concrets, cet ouvrage accompagnera les étudiants de la première à la troisième année."--Dos de la couv.
On sait que les taux d'échec à la fin de la première année à l'université en France sont importants. Les échecs concernent avec à peu près la même fréquence les étudiants de sciences dont le cursus antérieur est caractérisé par une bonne réussite que ceux qui entrent en première année d'AES, dont la réussite fut, au contraire, moyenne. Cet aspect de l'échec en deug suggère que ce sont les conditions de travail à l'université qui expliquent, pour partie, les résultats des étudiants. On s'est proposé d'expliquer ce phénomène en adoptant un point de vue inspiré de la sociologie du travail. On a voulu analyser le mode d'adaptation des étudiants à la situation de travail à laquelle ils se trouvent confrontés au cours de leur première année d'études universitaires. La démarche adoptée repose sur un travail de terrain prolongé auprès des étudiants de deux filières -sciences et AES- inscrits dans quatre universités.
La réussite en première année à l'Université est une question sociale récurrente depuis une trentaine d'années. Aux publics traditionnels des bacheliers généraux s'ajoutent aujourd'hui ceux des filières technologiques et professionnelles, renforçant ainsi la problématique de leur réussite. L'objectif de ce livre est de montrer de manière vivante comment les étudiants vivent leurs premières semaines à l'université dans leurs problématiques de travail universitaire, de vie sociale et personnelle.
La réussite des étudiants à l'université ou, plus précisément, la lutte contre l'échec en premier cycle est un axe majeur des politiques de l'enseignement supérieur français lors de cette dernière décennie. De plus, cette période a été marquée par de profonds bouleversements avec la participation des établissements au processus de Bologne et la proclamation de la loi du 10 août sur les libertés et responsabilités des universités. Aujourd'hui, les enseignants du supérieur vivent ces changements dans leurs pratiques quotidiennes. Que signifie faire réussir les étudiants dans l'université du XXIe siècle ? Quelles politiques et pratiques pédagogiques ont été mises en œuvre ? En quoi transforment-elles le métier d'enseignant du supérieur ? Comment évaluer le chemin parcouru ? À l'heure de la construction d'une société de la connaissance, cet ouvrage apporte une contribution essentielle à la définition d'une véritable démocratisation à l'université tant pour l'accès aux études supérieures que pour la formation des étudiants. Pages de début Adresse aux lecteurs Un nouveau champ à explorer Politique, acteurs et pratiques pour la réussite à l'université 1. Les politiques 2. Les acteurs 3. Les pratiques d'aide à la réussite Perspectives de recherches : entre héritages et incertitudes, quelle pédagogie de la réussite à l'université ? Lexique Liste des siglesBibliographie Pages de fin.
Le bassin du Congo représente 70 % de la couverture forestière du continent africain et abrite une grande partie de la biodiversité de l’Afrique. Historiquement, la pression exercée sur les forêts du bassin du Congo a été comparativement faible, mais des signes indiquent que cette situation ne devrait pas durer, car la pression sur les forêts et les autres écosystèmes s’accroît. La reconnaissance croissante de l’importance des forêts pour endiguer le changement climatique a introduit un nouvel élan dans la lutte contre la déforestation et la dégradation de la forêt tropicale. La plupart des pays de bassin du Congo sont activement engagés dans un processus de préparation des cadres et stratégies-cadre capable de créer des incitations à « réduire les émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts », encourageant « la conservation et la gestion durable des forêts ainsi que l’amélioration de la séquestration du carbone par les forêts » (REDD+). Ils travaillent ainsi d’ores-et-déjà à renforcer leur capacité de suivi des émissions liées aux forêts, à améliorer la gouvernance des forêts, à promouvoir le développement et à réduire la pauvreté, tout en protégeant les ressources naturelles de la région. Un exercice de deux ans visant à analyser et comprendre en profondeur la dynamique de la déforestation dans le bassin du Congo est résumé dans le présent rapport, qui s’organise comme suit : Le chapitre 1 donne une vue d’ensemble des forêts du bassin du Congo • Le chapitre 2 présente la dynamique de la déforestation et résume les résultats d’une analyse secteur par secteur des grands facteurs de déforestation dans le bassin du Congo. • Le chapitre 3 fournit une actualisation de l’état des négociations REDD+ dans le cadre de la CCNUCC et des implications pour les pays du bassin du Congo.