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Que faire face au déclin de notre industrie et au risque de son déclassement dans la compétition économique mondiale ? D’abord et avant tout renouveler les grandes infrastructures, celles des transports, de la production d’énergie, des télécommunications. Mais aussi tirer parti de l’explosion du numérique, lame de fond qui révolutionne toutes les filières industrielles et redistribue mondialement toutes les cartes. Or la France dispose d’atouts majeurs pour réussir : une expertise scientifique et technologique reconnue, un savoir-faire industriel et, surtout, une jeunesse instruite et compétente. L’ensemble de l’économie tirera profit de cette refondation industrielle pour peu que, dans sa mise en œuvre, l’on s’affranchisse de la tyrannie du court terme et du low cost et que l’on sache conjuguer les efforts des grands groupes, des PME et des start-up innovantes. Une vision et un programme pour la nécessaire et urgente renaissance industrielle. Polytechnicien et docteur en économie européenne, Didier lombard a exercé des responsabilités au ministère de la Recherche puis au ministère de l’économie, notamment comme directeur des stratégies industrielles puis président de l’Agence française pour les investissements internationaux. P-DG de France Télécom de 2005 à 2010, Didier lombard préside le conseil de Technicolor et siège aux conseils de surveillance de STMicroelectronics et de Radiall ; il préside le comité stratégique du fonds de capital-risque Iris Capital, spécialisé dans le développement de l’économie numérique. Didier Lombard est l’auteur du Village numérique mondial (2008) et de L’Irrésistible Ascension du numérique (2011),
Ce livre reprend tous les cas difficiles du libéralisme, tous les problèmes limites - où même ceux qui croient aux valeurs de la libre entreprise et de l'économie de marché - acceptent de reconnaître le besoin d'une intervention de l'État. L'auteur analyse les limites et les défauts scientifiques des arguments généralement utilisés, pour justifier l'intervention des pouvoirs publics. Comme dans ses ouvrages précédents (« Demain le capitalisme... »), Henri Lepage se fonde sur l'exploitation de travaux anglo-saxons, encore peu connus en France. Allant au bout de sa démarche, il rapporte comment des avancées récentes de la science économique, mettent à mal les concepts fondateurs de l'économie publique contemporaine.
Les changements intervenus depuis plusieurs années aux Etats-Unis et liés notamment à la diffusion des technologies de l'information et de la communication (TIC) constituent-ils les éléments d'une nouvelle révolution industrielle ? Le rapport de Daniel Cohen et Michèle Debonneuil affirme qu'une révolution industrielle est en marche aux Etats-Unis, sous l'effet des technologies de l'information et de la communication qui montent en régime, grâce à un effort de recherche et développement, à des moyens de financement appropriés et à la déréglementation des anciens monopoles. Leur diffusion, associée à la réorganisation des modes de production, suscite un regain de productivité. Ce mouvement s'était accompagné d'un élargissement des inégalités, qui parait actuellement marquer une pause, mais menace cependant d'engendrer une " fracture digitale ", tant l'accès à ces technologies est inégalement réparti. La France et l'Europe accusent dans la diffusion des TIC un retard de six à sept ans par rapport aux Etats-Unis. En outre, elles doivent acquérir la plupart de leurs investissements dans ces technologies à l'étranger (principalement aux Etats-Unis). Or, malgré la baisse très rapide des prix qui profite aux utilisateurs, les pays acheteurs pourraient moins bien tirer parti des nouvelles technologies que les pays producteurs, qui conservent des rentes et accumulent l'expérience. Dans le contexte de reprise qui se développe en Europe, un effort important doit donc être réalisé, non seulement dans la diffusion et l'assimilation des nouvelles technologies, mais aussi dans la R&D et la production. Le rapport principal s'appuie sur neuf contributions complémentaires. Il est discuté par Dominique Strauss-Kahn et Olivier Davanne.
Faut-il opposer l'industrie aux services et prédire le déclin de la première au profit des seconds ? En réalité, l'industrie est partout présente et nos sociétés sont envahies par les objets qu'elle fabrique ; la " nouvelle économie " existerait-elle sans la fabrication d'ordinateurs ? L'industrie n'a pas régressé, elle s'est transformée. Ce sont ces mutations que L'industrie dans la nouvelle économie mondiale décrit : cet ouvrage en présente les principaux acteurs (États, firmes, salariés, actionnaires), les secteurs les plus représentatifs, les plus grands producteurs (Triade, pays émergents, pays en transition...), les systèmes de production régionaux les plus typiques. Riche en documents statistiques inédits, cartes et graphiques... et sujets corrigés, cet ouvrage est un outil indispensable pour la préparation aux concours des Écoles de commerce, de l'enseignement (CAPES, agrégation), des IEP de province et de Paris, et aux examens de premier et second cycles universitaires (géographie, économie, AES).
World-renowned economist Klaus Schwab, Founder and Executive Chairman of the World Economic Forum, explains that we have an opportunity to shape the fourth industrial revolu­tion, which will fundamentally alter how we live and work. Schwab argues that this revolution is different in scale, scope and complexity from any that have come before. Characterized by a range of new technologies that are fusing the physical, digital and biological worlds, the developments are affecting all disciplines, economies, industries and governments, and even challenging ideas about what it means to be human. Artificial intelligence is already all around us, from supercomputers, drones and virtual assistants to 3D printing, DNA sequencing, smart thermostats, wear­able sensors and microchips smaller than a grain of sand. But this is just the beginning: nanomaterials 200 times stronger than steel and a million times thinner than a strand of hair and the first transplant of a 3D printed liver are already in development. Imagine “smart factories” in which global systems of manu­facturing are coordinated virtually, or implantable mobile phones made of biosynthetic materials. The fourth industrial revolution, says Schwab, is more significant, and its ramifications more profound, than in any prior period of human history. He outlines the key technologies driving this revolution and discusses the major impacts expected on government, business, civil society and individu­als. Schwab also offers bold ideas on how to harness these changes and shape a better future—one in which technology empowers people rather than replaces them; progress serves society rather than disrupts it; and in which innovators respect moral and ethical boundaries rather than cross them. We all have the opportunity to contribute to developing new frame­works that advance progress.
La sortie du monde façonné par l'industrie de masse du xxe siècle ébranle toute la société française. Quel sera le nouveau monde de la globalisation et de la révolution numérique ? Prenant le contrepied des analyses les plus répandues – désindustrialisation, passage à une société de services –, Pierre Veltz décrit une situation où les services, l'industrie et le numérique convergent vers une configuration inédite : le capitalisme "hyper-industriel". Cette convergence se déploie à l'échelle mondiale, faisant émerger une nouvelle économie, mais aussi une nouvelle géographie. Un grand partage se dessine, entre un archipel de pôles ultra-connectés et des mondes périphériques résiduels. Grâce à l'intensité de la redistribution, l'Europe et la France échappent pour l'instant aux formes les plus brutales de cette dislocation. C'est un atout immense qu'il faut préserver et consolider. Pierre Veltz est ingénieur et sociologue. Il a notamment publié Le Nouveau Monde industriel (Gallimard, 2008) et La Grande Transition (Seuil, 2008).