Download Free Lincidence De Lunion Economique Et Monetaire Ouest Africaine Uemoa Sur Les Finances Publiques De Ses Etats Membres Book in PDF and EPUB Free Download. You can read online Lincidence De Lunion Economique Et Monetaire Ouest Africaine Uemoa Sur Les Finances Publiques De Ses Etats Membres and write the review.

Le 10 janvier 1994, suite à l’échec des Politiques d’ajustement structurel proposées par les bailleurs de fonds extérieurs et à la dévaluation du Franc CFA qui en a suivi, a été signé, à Dakar, le Traité instituant l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) par sept Etats : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo. Le 2 mai 1997, la Guinée Bissau deviendra le huitième Etat de l’Union. Ce Traité entérine la transformation de l’Union Monétaire Ouest Africaine, regroupant les anciennes colonies françaises ouest africaines partageant la même monnaie commune (le Franc CFA), en une union économique. Pour éviter de revivre la même situation qui a amené à dévaluer la monnaie commune, l’Union a décidé d’assainir les finances publiques des Etats membres, enmettant en place un cadre juridique approprié et une Surveillance Multilatérale de leurs politiques budgétaires. L’objectif des pères fondateurs était d’arriver,par cet arsenal juridique, à harmoniser les législations budgétaires et comptables nationales, mais aussi d’y instaurer une réelle discipline budgétaire en appui à la politique monétaire commune. Très vite, l’UEMOA se dotera de deux directives clés portant respectivement Lois de finances et Règlement général sur la comptabilité publique, mais également d’un Pacte de convergence et d’un Code de transparence dans la gestion des finances publiques. Comparée à la situation antérieure, on a noté une nette amélioration dans la gestion des finances publiques au sein de l’Union, même si tous les Etats n’avancent pas au rythme dans le respect des critères de convergence, surtout concernant la réduction des déficits publics. C’est ainsi que, l’UEMOA, avec le soutien des bailleurs de fonds multilatéraux (FMI et Banque mondiale) qui cherchent à promouvoir dans les pays où ils interviennent de nouveaux outils financiers (Gestion axée sur la performance, Pluriannualité dans la programmation budgétaire, etc....), va réformer, en 2009, son cadre juridique des finances publiques afin de l’adapter aux nouveaux standards de gestion internationaux.
KEY ISSUESContext. The region continued to experience a strong upswing in 2013 and the immediate outlook is for further vigorous growth and moderate inflation. Sustaining this performance over the medium term, however, will require ambitious growth-enhancing reforms, high quality public investment, and consolidation of the recent improvements in the regional political and security situation. The outlook is subject to moderate downside risks. In the short term, political stability could be tested with the upcoming elections in a number of member states, particularly in a context of high demand for better governance and higher living standards. Security issues in the Sahel constitute another short-term risk. Delays in implementing reforms, at both the national and regional levels, are the principal medium-term risk.Policy recommendations:- Maintaining the current macroeconomic policy mix. The recent upswing is welcome. As growth is now better entrenched, more stimulus is not required at this juncture. With continued strong growth projected for the region, countries are encouraged to seek opportunities to strengthen fiscal sustainability while maintaining public investment efforts. The widening current account deficit and declining reserves'which remain adequate'should be monitored closely and warrant a pause in loosening monetary policy.- Increasing fiscal policy coordination. The ongoing review of the regional surveillance framework is welcome. Its ultimate goal should be to preserve fiscal and external sustainability. This will involve redesigning fiscal convergence criteria, improving regional surveillance, and strengthening the application of fiscal rules.- Accelerating financial sector reforms. Developing the financial sector while preserving its stability is essential to support sustainable economic development and improve the effectiveness of macroeconomic policies. Developing the interbank and government debt markets and strengthening substantially transparency, bank supervision, and the crisis management and resolution framework are priorities. Ongoing reforms go in the right direction but the pace of implementation needs to accelerate.- Moving toward a more dynamic and resilient union. The regional growth agenda should be reinforced by concrete and coordinated actions to improve structural competitiveness, accelerate regional integration, and strengthen economic resilience.
Depuis plusieurs années, le FMI publie un nombre croissant de rapports et autres documents couvrant l'évolution et les tendances économiques et financières dans les pays membres. Chaque rapport, rédigé par une équipe des services du FMI à la suite d'entretiens avec des représentants des autorités, est publié avec l'accord du pays concerné.
In recent years, the IMF has released a growing number of reports and other documents covering economic and financial developments and trends in member countries. Each report, prepared by a staff team after discussions with government officials, is published at the option of the member country.
Contexte. La région continue d’enregistrer une croissance vigoureuse en 2015 et les perspectives immédiates sont positives. L’inflation devrait rester faible, d’après les projections, sous l’effet de la parité du taux de change et de l’évolution positive des termes de l’échange. Toutefois les risques sont essentiellement baissiers. À court terme, les risques sécuritaires demeurent élevés. À moyen terme, les perspectives de croissance pourraient être amoindries par un affaiblissement de la croissance chez les partenaires commerciaux, un durcissement de la situation financière internationale, la lenteur des réformes structurelles, et les difficultés à réaliser l’assainissement budgétaire prévu.
Union économique et monétaire ouest-africaine : questions générales
Le 10 janvier 1994, suite a l'echec des Politiques d'ajustement structurel proposees par les bailleurs de fonds exterieurs et a la devaluation du Franc CFA qui en a suivi, a ete signe, a Dakar, le Traite instituant l'Union Economique et Monetaire Ouest Africaine (UEMOA) par sept Etats: le Benin, le Burkina Faso, la Cote d'Ivoire, le Mali, le Niger, le Senegal et le Togo. Le 2 mai 1997, la Guinee Bissau deviendra le huitieme Etat de l'Union. Ce Traite enterine la transformation de l'Union Monetaire Ouest Africaine, regroupant les anciennes colonies francaises ouest africaines partageant la meme monnaie commune (le Franc CFA), en une union economique. Pour eviter de revivre la meme situation qui a amene a devaluer la monnaie commune, l'Union a decide d'assainir les finances publiques des Etats membres, en mettant en place un cadre juridique approprie et une Surveillance Multilaterale de leurs politiques budgetaires. L'objectif des peres fondateurs etait d'arriver, par cet arsenal juridique, a harmoniser les legislations budgetaires et comptables nationales, mais aussi d'y instaurer une reelle discipline budgetaire en appui a la politique monetaire commune.
Le point sur les politiques économiques au sein des pays de l'Afrique subsaharienne. Une étude sur le niveau de croissance, sur l'évolution du commerce régional et sur les finances publiques des pays de l'UEMOA, Union économique et monétaire ouest-africaine.