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This book brings together papers presented at the 3rd Conference of Research in Economics and Management (CIREG) held in Morocco in May 2016. With a focus on the challenges of SMEs and innovative solutions, they highlight the contribution of researchers in the fields of business and management, with all their micro and macro-economic aspects. They shed light on the universal scientific vision of the importance of SMEs with answers relevant to their local context and adapted to their specific national situation. The relevance of SME research lies in its heuristic value of analyzing change, rather than in constructing a category, a particularly useful empirical concept. This first volume is focused on economic issues.
Le présent document examine les réformes macroéconomiques que Djibouti doit opérer en vue de devenir un pays à revenu intermédiaire comme prévu dans la stratégie de développement des autorités, Vision Djibouti 2035. Il passe en revue les options dont disposent les autorités dans trois domaines de réforme essentiels : traduire l’essor de l’investissement en une croissance vigoureuse et inclusive pour réduire la pauvreté et le chômage ; mener une politique budgétaire propice à la croissance tout en préservant la viabilité de la dette, et le rôle important du climat des affaires dans l’accélération de la croissance.
Ce livre se penche sur le rôle des richesses en ressources naturelles dans la transformation économique de l’Afrique et évoque les enjeux de la transition sobre en carbone pour les économies riches en ressources. La richesse en ressources constitue en effet un facteur clé dans la majeure partie des économies subsahariennes, dont le sol recèle un important potentiel inexploité. Les gisements souterrains de métaux, minerais, pétrole et gaz représentent des sources prépondérantes de recettes publiques et de revenus d’exportation, tout en offrant des possibilités de développement dans la plupart des pays du continent. En dépit de réserves conséquentes, la conversion de la richesse du sous-sol en prospérité durable n’a pas été pas couronnée de succès. Depuis la baisse du prix des matières premières constaté en 2014, la croissance des pays d’Afrique riches en ressources est plus lente que le taux de croissance moyen observé dans la région. Il est donc vital pour son avenir économique que le continent africain puisse tirer profit de ses richesses en ressources naturelles et ainsi favoriser sa transformation économique. Alors que le monde s’éloigne des combustibles fossiles conformément aux engagements pris dans le cadre de l’Accord de Paris, les pays africains riches en ressources voient surgir de nouveaux risques et de nouvelles opportunités. Des estimations récentes suggèrent que 80 % des réserves de combustibles fossiles attestées dans le monde doivent rester enfouies pour atteindre les objectifs de Paris; or, une grande partie de ces réserves «échouées» se situent en Afrique. Pour les nombreuses économies africaines qui dépendent de l’extraction et de l’exportation du pétrole, cette problématique des actifs «échoués», et par là -même, de «nations échouées», a des implications considérables. Mais cette transition énergétique va également avoir pour effet d’augmenter la demande en intrants de matières premières indispensables aux technologies des énergies vertes. La transition entre combustibles fossiles et énergies vertes devrait ainsi générer une demande de 3milliards de tonnes de minerais et de métaux nécessaires au déploiement des technologies à énergie solaire, éolienne et géothermique. Une question se pose alors: comment les économies africaines peuvent-elles pleinement saisir ces opportunités tout en gérant les risques inhérents aux combustibles fossiles, dans un contexte où leur demande est vouée à décroître? Les ressources naturelles, un enjeu clé pour l’avenir de l’Afrique aborde ces thèmes et offre aux décideurs politiques des pistes pour gérer les écueils de l’incertitude au cours des années à venir.
"Je suis d'accord avec les points soulevés ― et avec l’argument d'Ayuk pour le rôle critique que l'OPEP jouera afin que les produits pétroliers africains se fasse une voix bien méritée dans l'industrie pétrolière." —Secrétaire général de l'OPEP, S.E. Mohammad Sanusi Barkindo Deux décennies de négociation d'accords pétroliers et gaziers africains ont donné à NJ Ayuk une compréhension du paysage énergétique du continent que peu de gens peuvent égaler. L'avocat de l'énergie africain, formé aux États-Unis, fournit des doses généreuses de cette idée dans son deuxième livre, Billions at Play: The Future of Africa Energy and Doing Deals. Servant de feuille de route pour que le continent fasse un meilleur travail en utilisant ses vastes ressources énergétiques pour améliorer la vie de ses populations, Ayuk explique comment les pays africains peuvent utiliser leurs industries énergétiques comme tremplins pour diversifier et développer leur économie globale. De plus, Ayuk montre comment les gouvernements africains et les entreprises locales peuvent négocier de meilleurs accords avec les sociétés énergétiques internationales et comment les pays du continent peuvent utiliser des gisements de pétrole et de gaz marginaux pour développer des industries énergétiques nationales qui, une fois fortes, seront compétitives au niveau mondial. Questions posées et réponses:
Malgré la forte croissance économique que l’Afrique subsaharienne a connue ces vingt dernières années, les niveaux de transformation économique, de réduction de la pauvreté et de développement des compétences dans cette partie du monde sont bien inférieurs à ceux des autres régions. Des investissements judicieux dans le développement des compétences, en accord avec les objectifs politiques de croissance de la productivité, d’inclusion et d’adaptabilité, peuvent aider à accélérer la transformation économique de la région subsaharienne au XXIe siècle. L’augmentation de la population en âge de travailler en Afrique subsaharienne constitue une réelle chance d’accroître la prospérité collective. Les pays de la région ont investi massivement dans le développement des compétences†‰; les dépenses publiques consacrées à l’éducation ont été multipliées par sept au cours des 30 dernières années, et le nombre d’enfants scolarisés est aujourd’hui plus élevé que jamais. Pourtant, les systèmes d’éducation de cette population n’ont pas donné les résultats escomptés, et ces insuffisances entravent considérablement les perspectives économiques. Dans la moitié des pays, moins de deux enfants sur trois terminent l’école primaire, et encore moins atteignent des niveaux supérieurs d’enseignement et obtiennent un diplôme. Les acquis d’apprentissage demeurent faibles, ce qui entraîne des lacunes dans les compétences cognitives de base telles que la lecture, l’écriture et le calcul, aussi bien chez les enfants, les jeunes que les adultes. Le taux d’alphabétisation de la population adulte est inférieur à 50 % dans de nombreux pays†‰; la part des adultes sachant lire, écrire et compter de manière fonctionnelle est encore plus faible. Une réforme du système est nécessaire pour réaliser des progrès significatifs. De multiples agences aux niveaux national et local sont impliquées dans les stratégies de développement des compétences, faisant des compétences «†‰le problème de tous, mais la responsabilité de personne†‰». Les politiques et les réformes doivent permettre de renforcer les capacités des politiques qui ont fait leurs preuves et d’instaurer des mesures incitatives visant à faire converger le comportement de tous les acteurs dans la poursuite des objectifs de développement des compétences au niveau national. Le développement des compétences en Afrique subsaharienne, un exercice d’équilibre. Investir dans les compétences pour la productivité, l’inclusion et l’adaptabilité présente des données qui éclaireront les choix stratégiques des pays en matière d’investissements dans les compétences. Chaque chapitre aborde un ensemble de questions spécifiques, en s’appuyant sur une analyse originale et sur une synthèse des travaux existants pour explorer les domaines principaux : • comment les compétences appropriées à chaque étape du cycle de vie sont-elles acquises et quelles défaillances du marché et des institutions affectent le développement des compétences†‰; • quels systèmes sont nécessaires pour que les individus aient accès à ces compétences, notamment les investissements consentis par les familles, les institutions du secteur privé, les écoles et autres programmes publics†‰; • comment ces systèmes peuvent-ils être renforcés†‰; • comment les personnes les plus vulnérables, à savoir celles qui ne font pas partie des systèmes standards et qui n’ont pas réussi à acquérir des compétences essentielles, peuvent-elles être soutenues. Les pays de la région seront souvent confrontés à des arbitrages difficiles qui auront des effets distributifs et influeront sur leur trajectoire de développement. Des dirigeants engagés, des efforts conjoints de réforme et des politiques bien coordonnées sont essentiels pour aborder le délicat exercice d’équilibre que représente le développement des compétences en Afrique subsaharienne.
This volume highlights the proceedings of the two policy dialogue conferences held by the Working Group on Finance and Education (WGFE) in 2004. Part I of the document discusses the endemic crisis that higher educationhas been beset with since the outset of the post colonial period in Africa. It highlights the critical state of higher education systems in Burkina Faso, Mali, Nigeria and Senegal by scrutinizing the causes, manifestations and consequences of the crisis to posit useful recommendations and possible solutions. Part II is a comprehensive review of the challenges facing the financing and planning of all levels and types ofeducation - from kindergarten to graduate school - in selected African countries. The papers reveal the sources and mechanisms of funding education in Africa, drawing attention to the experiences of communities confronted with new funding sources. A new trend, which consists of designing decade long educational development plans, has emerged and is rapidly expanding in numerous African countries. This experience is examined and shared by the authors. This book has contributions in both French and English.
This issue discusses economic developments in the Middle East, North Africa, Afghanistan, and Pakistan (MENAP), which continue to reflect the diversity of conditions prevailing across the region. Most high-income oil exporters, primarily in the GCC, continue to record steady growth and solid economic and financial fundamentals, albeit with medium-term challenges that need to be addressed. In contrast, other countries—Iraq, Libya, and Syria—are mired in conflicts with not only humanitarian but also economic consequences. And yet other countries, mostly oil importers, are making continued but uneven progress in advancing their economic agendas, often in tandem with political transitions and amidst difficult social conditions. In most of these countries, without extensive economic and structural reforms, economic prospects for the medium term remain insufficient to reduce high unemployment and improve living standards.
This issue discusses economic developments in the Middle East, North Africa, Afghanistan, and Pakistan (MENAP), which continue to reflect the diversity of conditions prevailing across the region. Most high-income oil exporters, primarily in the GCC, continue to record steady growth and solid economic and financial fundamentals, albeit with medium-term challenges that need to be addressed. In contrast, other countries—Iraq, Libya, and Syria—are mired in conflicts with not only humanitarian but also economic consequences. And yet other countries, mostly oil importers, are making continued but uneven progress in advancing their economic agendas, often in tandem with political transitions and amidst difficult social conditions. In most of these countries, without extensive economic and structural reforms, economic prospects for the medium term remain insufficient to reduce high unemployment and improve living standards.